Chevrette Nomade

Il y a un an

Il ne se passait rien...

Mercredi 8 octobre 2008 à 20:01

Voyages immobiles...
Chaque soir, je m'évade...
Yeux fermés, j'enfourche mon cheval imaginaire et je pars sur de grands espaces, blottie dans mon lit. J'ai la chance d'avoir une bonne mémoire visuelle et une imagination qui se permet tout.
Je démarre en vue d'avion... sur de superbes paysages, je parcours les déserts et leurs ondulations de dune... ou je m'enfonce dans un sous-bois accueillant... et cherche une clairière accueillante.
Et l'histoire commence, jamais violente ! Je déteste les accidents, mon cheval est magique, infatigable et ne chute jamais. Les forêts qu'il parcourt sont remplies d'êtres étranges, mais sympathiques et accueillants. Les champignons colorés et les fruits que nous trouvons ne sont jamais empoisonnés.
Je crois que je pourrais remplir un blog entier avec toutes les histoires que j'enfile comme des perles sur le chapelet de mes rêves...
Hélas, au réveil sonnant, à la froide obscurité du matin, quand je dois sortir de sous la tiède couette.... tout s'envole. Mon cheval magique s'enfuit, et emporte avec lui tous mes rêves, jusqu'à leur souvenir. Dommage !
Je me console en me disant que mon voyage n'a pas pollué la planète !

Lundi 6 octobre 2008 à 19:32


Sommes-nous vraiment la dernière génération d'humains
(the last generation, le livre de Fred Pearce, dont je parle ici )
ou simplement une génération perdue, a lost generation...
Pessimiste moi ?
non, je cherche à réfléchir, comme lui
un vieux sage de Cow, qui, dans la solitude de ses montagnes, médite,
et de surcroît nous offre de si belles photos sur son blog.

Dimanche 5 octobre 2008 à 15:47

Grand affolement sur la planète "Finances" ! ! !
Une planète étrange, où des "GOLDEN BOYS" jouent à "qui-perd-gagne" sur leurs consoles vidéo dans des immeubles de verre et d'acier, surtout à Wall Street.
Une planète où l'on s'amuse avec des "fonds d'investissement", ultimes refuges de la retraite des personnes âgées ou de votre bourse d'étudiant ou encore des économies d'un jeune couple avec son bébé qui veut passer d'un F1 à un F2.
Les GOLDEN BOYS sont souvent célibataires, diplômés de prestigieuses écoles, embauchés par les grandes boîtes de "trading" dès leur dernière année d'études. Ils n'ont connu de la vie souvent que les campus et les beuveries de week-end. Grands amateurs de Porsches ou autres voitures prolétaires, ils ignorent ce que signifie un porte-monnaie "plat" (celui que j'ai en ce moment dans la poche, avec quelques dollars plissés) d'autant qu'à leur gros salaire s'ajoutent des "primes" au bénéfice.
Sur leur écran, des lignes défilent, des valeurs de "titres" alignent leurs chiffres, à la hausse comme à la baisse. ... et le Golden Boy, en bon petit soldat inconscient, achète ou vend, ignorant les vies laborieuses, les personnes, jeunes ou vieilles, des entreprises petites ou grandes qui se cachent derrière les chiffres qu'il manipule.
L'actionnaire est roi, lui qui spécule, achète à la baisse et revend à la hausse. Le Golden Boy est le petit travailleur infatigable de l'actionnaire, du petit qui possède 10 ou 100 actions, petite rente de fin de vie, ou du gros qui brasse par millions.. Internet aidant, des milliards de dollars traversent ainsi la planète, entre pays pauvres ou riches, entre paradis fiscaux ou sociétés anonymes.
Brassez, brassez, touillez la marmite d'or...
et un jour émerge ce qu'on nomme une énorme "bulle" qui révèle son vide en éclatant.
Les banques affolées mettent du temps à s'apercevoir que ce beau paquet de valeurs n'est un "JUNK BOND", une valeur vide, et, pour récupérer, mettent sans pitié à la porte de leur maison des dizaines de milliers de ménages américains, ou poussent des entreprises à la faillite. Récupérer au moins le bâti ou les machines, quitte à revendre à perte. Elles étaient responsables, mais elles se paient sur le cadavre de leurs victimes...
On ne met jamais le banquier, qui a pourtant "prêté" à des taux "variables" élevés, en prison. Mais son client, lui, va souvent en prison.
Des milliers de Golden Boys, bons serviteurs inconscients de leur banquier, vont se trouver à la rue. Mais rassurez-vous : d'autres profitent de la pagaïe, et au Salon de l'Automobile de Paris, les grosses cylindrées polluantes et très chères se vendent bien...
Et moi, Maud, 18 ans, je dois payer de ma poche (l'Etat me les retirant) comme chaque Français, vieillard ou bébé, 4 € à M. Tapie, pour une histoire entre lui et le Crédit Lyonnais... Je n'étais même pas née, M. Tapie a été un moment en prison, mais aucun des membres du Crédit Lyonnais n'a été inquiété ni n'a perdu son emploi.
Aujourd'hui, tous les grands noms de la politique se remuent pour tenter de sauver la Finance Internationale... Il n'y a jamais eu autant de manifestations anticapitalistes que cette semaine aux USA... et en France le premier ministre a déclaré que nous étions au bord du gouffre.
Il faut nettoyer au karcher la Grande Finance...

Samedi 4 octobre 2008 à 23:56

Etudier en sciences de l'environnement, çà permet parfois de découvrir des choses rigolotes. A moins de vouloir prendre la Bible à la lettre, comme certains ici en Amérique du Nord, et de croire donc au mythe de la Création en 6 jours, il faut bien chercher à comprendre ce qui s'est passé AVANT pour que nous soyons à présent embringués dans le monde de fous, où nous voilà acteurs et victimes.
AVANT ...il y a des millions d'années...
Le bouquin de Fred Pearce intitulé "The Last Generation" (titre mal traduit en Français : "Points de rupture", Calmann-Lévy 2006) parle de cet AVANT.
Selon cet auteur, 2 grands cataclysmes repérés scientifiquement ont marqué le passé :
La collision d'un astéorïde avec notre planète, il y a 65 millions d'années, qui entraîna la disparition des dynosaures et sans doute de nombreuses espèces, à cause des nuages de poussières et de gaz soulevées.
Mais, 10 millions d'années plus tard, donc il y a 55 millions d'années, un nouveau cataclysme eut lieu : suite à un réchauffement progressif de la planète, les sédiments profonds des Océans finirent par libérer ce que l'auteur nomme "un pet géant" formé de milliards de tonnes de méthane, ce qui réchauffa encore plus l'atmosphère.
Ce événement est daté et avéré par l'analyse des carottes glaciaires, mémoires de notre passé.
"Quand le climat s'est enfin remis de ce choc, bon nombre d'espèces marines ou terrestres s'étaient éteintes, tandis que d'autres, plus adaptées au réchauffement planétaire, avaient prospéré".
Le méthane, enfermé par milliards de tonnes sous nos pieds dans les "clathrates" de  l'enveloppe terrestre, serait, selon certains chercheurs, prêt à produire de nouveaux dégagements si la terre se réchauffait trop.
Nous sommes de ces espèces qui sont nées après le premier "pet de méthane"... Nous pourrions être une espèce qu'un nouveau pet géant, provenant des profondeurs de notre planète, exterminerait...
Un pet nous a fait naître, un autre pet pourrait nous annihiler...
C'est fou ce que la science rend optimiste !
(qui disait "Je pense, donc je suis" ? Moi, c'est plutôt ces jours-ci "Je lis, donc je suis" ! Bon week-end, les Cow !)

Jeudi 2 octobre 2008 à 19:25

S'il y a une chose qui étonne beaucoup une étudiante française au Québec, si elle se promène et observe, ou si, comme je l'ai fait, on y travaille dans une job d'été, c'est le travail des jeunes et surtout l'âge de ces jeunes au Québec.
Le journal québécois "l'Actualité", sous le titre "Se tuer au travail", révèle un aspect inquiétant de ce travail "des enfants"
" Un soir de janvier, entre chien et loup, à Grande-Vallée, en Gaspésie. Alexandre Fournier, éboueur de 14 ans, est au travail sur une route sombre. Happé par une voiture, il meurt sur le coup.
Un vendredi de la fin août, à Salaberry-de-Valleyfield. Maxime Degray, travailleur agricole de 13 ans, vient de finir sa journée. Il s'installe sur l'aile droite de la remorque dans laquelle il a chargé le blé d'Inde. Tirée par un vieux tracteur Ford, la remorque se met en marche. Et puis — un nid-de-poule plus profond que les autres, une bonne secousse — Maxime tombe. Il meurt écrasé.
Un soir de décembre, Mathieu Desjardins-Levac, préposé à l'entretien de 16 ans, travaille dans une scierie de Rivière-Rouge, dans l'Outaouais. Il se coince dans un convoyeur à courroie et se tue.

Le travail des adolescents, et même celui des tout jeunes enfants, est légal au Québec (les travailleurs de moins de 14 ans doivent toutefois avoir l'autorisation de leurs parents). Le taux d'emploi des 15-24 ans est d'ailleurs l'un des plus élevés de tous les pays industrialisés, selon une récente étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques. En 2007, ils étaient 57 % à occuper un travail — contre 39 % dans l'Union européenne. Pas étonnant alors que des enfants et des adolescents se blessent et se tuent, parfois juste pour avoir de l'argent de poche. De 1999 à 2006, la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) a enregistré 90 décès chez les jeunes de 13 à 24 ans, soit un décès par mois en moyenne. À titre de comparaison, les petits boulots font plus de victimes québécoises que les talibans... (Depuis le début de l'intervention canadienne en Afghanistan, en 2002, 14 Québécois y ont été tués.)
Toutes proportions gardées, les travailleurs de moins de 24 ans ont 1 fois et ½ plus d'accidents que leurs collègues plus âgés. S'il a légèrement fléchi au cours des dernières années, le nombre de blessés reste élevé. En 2007, 15 872 salariés de moins de 24 ans ont été indemnisés pour des lésions survenues dans un cadre professionnel. La CSST a même indemnisé un enfant de 8 ans ! "
Source de cet article : ici   Vous y lirez aussi que sans doute moins de 30% des "accidents du travail" sont déclarés par leurs jeunes victimes... et que donc ces stats sont sous-évaluées !
Le travail des enfants au Québec s'explique par des traditions encore souvent rurales, hors des grandes villes que sont Québec et Montréal (beaucoup d'enfants travaillaient ou travaillent encore dans les villages de la campagne française pour aider l'exploitation familiale)
Mais le travail des jeunes s'explique aussi par le coût des études : à partir de 17 ans, au Cegep (mixte de ce qu'est le fin du lycée et de la 1ère année universitaire en France), il faut payer sa scolarité bien au-delà du coût en France. Beaucoup de parents n'arrivent pas à payer les études de leurs enfants de 17 à 21 ans, et ceux-ci travaillent donc. 
Pas d'autre choix ! Témoignage d'une étudiante paru dans le même quotidien il y a un mois :
« J'étais exténuée, morte, épuisée. » Eva Dubuc-April, 18 ans, ne manque pas de synonymes pour décrire son état durant son dernier trimestre. Inscrite en techniques de travail social au cégep de Sainte-Foy, elle a démarré ses études collégiales sur les chapeaux de roues en raison d'un emploi du temps surchargé.
En plus des 32,5 heures de cours (comprenant de 2 à 4 heures de bénévolat obligatoire) et des 15 à 20 heures allouées à l'étude à la maison, Eva travaillait 20 heures par semaine dans une boutique de vêtements de sport de luxe (payée 9 $ (6,5€) l'heure, plus 1 % de commission). « Ç'a été très difficile de gérer à la fois l'école, le travail et mes responsabilités vis-à-vis de ma famille, raconte-t-elle. Je ne dormais jamais plus de cinq ou six heures par nuit. Même si j'ai de la facilité à l'école, mes notes s'en sont ressenties. » Eva ne souhaite pourtant abandonner ni ses études (sa priorité !) ni son emploi, qu'elle estime indispensable pour payer sorties, vêtements, livres scolaires et voyages. Elle entreprend donc son troisième trimestre au même rythme, entre le cégep et la boutique, où elle a également travaillé à temps plein cet été. « Même si je vis chez mes parents, je n'ai pas d'autre choix que d'agir ainsi, dit-elle. À mon âge, je n'ai pas le goût de quémander de l'argent à mon père et à ma mère pour aller au cinéma ou au resto. Et je veux faire autre chose dans la vie que dormir et travailler ! »

Jeudi 25 septembre 2008 à 23:53

Je vais bien...
et je suis contente de voir que le nombre d'articles a  augmenté un peu sur Cow...
Mais ce soir, je n'ai pas trop envie d'écrire ici.
Bien des choses à dire me passent par la tête, mais le travail m'attend.
Et ce serait donc artificiel : écrire un post pour écrire un post... Cà ne vous est jamais arrivé, çà, sur Cow, de transformer votre blog en une sorte de "devoir quotidien" à remplir ?
(d'autant plus obligé ce devoir que rien, sauf vous-même l'auteur, ne vous y force ! )
Comme dans un salon de bonne société : il faut parler pour parler..., pour "exister"...
Je lis en ce moment, parmi d'autres livres, à moments perdus, "La vie sexuelle de Catherine M.", par Catherine Millet (Points, P10008). Dans cette "autobiographie", l'auteur, femme célèbre, explique comment, depuis ses 16 ans, ses loisirs sont consacrés à se faire "prendre" par des centaines d'hommes. Un livre cru, assez monstrueux.
Mais, dans un blog aussi, d'autre manière, on est un peu exhibitionniste...
Par le simple fait d'écrire, d'ailleurs, si on veut bien y réfléchir...
Se dévoiler, mais avec toute la distance nécessaire entre l'écriture et son auteur...
Certain(e)s le font avec leurs poings, d'autres avec leur argent, d'autres avec leur cul.
Le blogueur le fait avec son blog...

Mercredi 17 septembre 2008 à 20:15

Parfois, j'ai envie de pleurer... pas pour moi, mais pour la souffrance que je devine chez d'autres...
Et, comme je ne sais pas quoi dire, en com ou de vive voix, j'ai envie de prier, même je prie.
Mais je ne sais pas trop QUI je prie, et si c'est utile à autre chose que consoler mon impuissance.
C'est quand on est trop petite et faible qu'on cherche un GRAND qui serait TOUT-PUISSANT...

Il y a trop de dommages collatéraux dans le machin où on est tous embringués, ce MONDE.
Cette roue de l'Univers qui tourne, on ne sait pourquoi, est une immense broyeuse.
Trop de collisions d'étoiles, trop d'inondations et de cyclones, trop de virus qui traînent
Trop d'animaux qui doivent se dévorer sans pitié les uns les autres pour survivre,
trop de gens malhonnêtes, de milliardaires assis sur leur manque de scrupules,
trop d'échecs ou de parjures dans l'amour, trop de déchets dans nos civilisations...
Si Créateur tu es, Dieu, il y a trop de dommages collatéraux dans ta Création,
pire qu'un bombardement USA en Irak ou en Afganistan...
Dieu, je me dis souvent que Tu devrais demander pardon à l'humanité ...
Mais si Tu es ILLUSION, à quoi bon râler et prier ?    Réponds !
(j'ai lu aujourd'hui quelque chose qui m'a fait pleurer...)

Lundi 15 septembre 2008 à 21:32

Il a fait souvent beau et chaud ce début Septembre, et les arbres prennent des couleurs magnifiques...
Arc-en-ciels de couleurs mais aussi annonce de la chute des feuilles.
Si seulement les feuilles des manuels que je dois ingurgiter pouvaient elles-aussi prendre des couleurs !
Les journaux ici deviennent, eux, gris et ennuyeux : forcément : il va y avoir des élections !
Mais çà y est ! Cet été indien s'achève : petite laine sur le dos pour sortir le matin, car la température se fraîchit, et les nuits se font froides : jamais plus de 10° annoncés cette semaine la nuit, 1° même en fin de semaine...
J'aime pas cette période transitoire : on a froid le soir dans les chambres, quand on veut travailler.
Je vais me préparer des bons thés chauds et cuisiner quelques pancakes en suivant la recette proposé par ce merveilleux cowblogueur ici
Une bonne couette au lit, et un bon thé dans le ventre, rien de tel pour vaincre le froid du soir !
En attendant, voyez sur cette photo comme c'est beau !

Mardi 9 septembre 2008 à 19:40

Je ne fume pas...
Je ne bois que de l'eau ou des jus de fruits... jamais d'alcool.
Je ne me maquille jamais.
Je n'ai pas de seins gorgés de silicone.
Je ne me drogue pas... mais j'aime assez qu'il y ait de l'ail dans la salade.
Je n'ai jamais encore "fait" (oui, il parait que çà se "fait" !) l'amour...
mais j'adore les bisous.
Je ne sais pas si je suis lesbienne ou hétéro (j'ai des amis dans les deux sexes !)
La seule fois où j'ai été folle d'amour, c'était pour un petit chaton qui me griffait tant qu'il pouvait...
Je ne sors presque pas le soir (trop crevée suite médications)
et ne vais donc jamais en "boîte" ou dans les bars.
J'ai un téléphone portable, mais sauf SMS très utilitaires, ne m'en sers que très peu.
Je déteste toutes les musiques qui "hurlent" trop...
Les voitures m'énervent et je n'ai pas encore envisagé de passer mon permis...
Je n'ai jamais encore reporté de robe depuis les mariages de mes frères, il y a 6 ans...
On vient dans ma chambre surtout parce que je confectionne de très bons petits gâteaux,
que je prétend "french cooked"... (mais que j'invente un peu !).
On y vient aussi pour causer et me demander des trucs concernant les cours.
 Je me sens trop jeune pour certains trucs, trop vieille pour d'autres...
Je suis intimement persuadée que l'avenir de l'humanité est sombre,
à cause du réchauffement climatique...
De tempérament plutôt joyeux, je ne suis donc pas du tout optimiste pour l'avenir ...
* * * * * * * *
Ces lignes pour répondre au tag d'elle :
"Si tu te fait tagger, tu dois dire 6 trucs inutiles à ton sujet et re-tagger 6 autres personnes! "
Elle, c'est une cowblogueuse canadienne,
qui vient d'écrire un article intéressant sur la folie japonaise qui sévit sur Cow !
Comme, de plus, je ne lis ni ne vois de "japonaiseries"
et que non, je n'aime pas taguer les blogs des autres pour çà...
Je me demande si je suis une fille normale ?...

Dimanche 7 septembre 2008 à 20:57

Sarah Palin, colistière du candidat républicain McCain à la Présidence des USA, et qui donc risque de devenir Présidente si, élu, McCain (72 ans, un cancer de la peau) a des ennuis de santé, croit que Dieu inspire en direct les autorités des USA.
Voici ce qu'elle dit dans une église pentecôtiste où elle est invitée à parler en tant que Gouverneur de l'Alaska :
“Pray for our military men and women who are striving to do what is right also for this country, that our leaders, our national leaders, are sending them out on a task that is from God. That's what we have to make sure that we're praying for. That there is a plan and that plan is god's plan.”
"Priez pour nos militaires hommes et femmes qui luttent pour faire ce qui est juste pour ce pays (l'Irak) ; nos leaders nationaux les envoient là-bas pour une tâche qui est inspirée par Dieu. Nous devons être sûrs que nous prions pour çà : il y a un plan, et ce plan est le plan de Dieu..."


A quand des fatwas inscrites dans la Constitution des USA ?

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