s'ils n'ont pas lu les pages précédentes de mon blog
au moins celles où je parle de moi…
Hier, courses à Auchan…
J'ai voulu y aller, pour vivre la foule animée d'une pré-rentrée scolaire.
Beaucoup de monde dans les rayons d'articles scolaires :
Les petits qui veulent tout ce qui est joli ou drôle,
leurs parents, budget en tête, calment les ardeurs dépensières,
Des ados, liste en main, cherchent feuilles, fiches, cahiers de tel ou tel format, calculettes, et se paient des petits luxes sur la trousse ou le sac à dos…
J'adore cette animation, et je traîne, nostalgique…
Rien à acheter moi-même : puisque pas de « vraie » rentrée…
Sinon la journée que je veux consacrer à mon « coming-out »
Et brutalement, cette crise, cette irrésistible envie de pleurer,
Ces larmes ! J'ai dû vite aller me cacher, sortir …
M'asseoir, sangloter tout mon soûl… Aucune raison !
Venus d'un coup, sans prévenir, ces hoquets de sanglots,
à vomir ! J'ai jamais pleuré, depuis 5 ans, sauf la nuit...
Facile de bravacher, de babasser, seule, sur mon blog…Voici qu'affrontée à la réalité, je me découvre faible, désarmée.La fête de la rentrée, c'est pour les autres…
Et je n'avais pas encore pris la mesure du manque !
Maintenant, j'ai peur de venir, même pour un seul jour,
Au lycée où je suis pourtant « inscrite » …entre guillemets !
Et si, comme dans la grande surface, je perdais les pédales.
Déjà stressante, cette 1ère journée en Terminale, pour mes camarades…
Si c'est pour les «angoisser » un peu plus avec mes problèmes,
J'aime mieux ne pas venir… Je ne sais pas, je ne sais plus…
Se découvrir si faible, alors que je croyais qu'au moins ,
le moral, à défaut du corps, tenait le coup…
découvrir que ce moral n'est que façade fragile !
que je « craque » dès que je mets un pied dans le réel…
au moins celles où je parle de moi…
Hier, courses à Auchan…
J'ai voulu y aller, pour vivre la foule animée d'une pré-rentrée scolaire.
Beaucoup de monde dans les rayons d'articles scolaires :
Les petits qui veulent tout ce qui est joli ou drôle,
leurs parents, budget en tête, calment les ardeurs dépensières,
Des ados, liste en main, cherchent feuilles, fiches, cahiers de tel ou tel format, calculettes, et se paient des petits luxes sur la trousse ou le sac à dos…
J'adore cette animation, et je traîne, nostalgique…
Rien à acheter moi-même : puisque pas de « vraie » rentrée…
Sinon la journée que je veux consacrer à mon « coming-out »
Et brutalement, cette crise, cette irrésistible envie de pleurer,
Ces larmes ! J'ai dû vite aller me cacher, sortir …
M'asseoir, sangloter tout mon soûl… Aucune raison !
Venus d'un coup, sans prévenir, ces hoquets de sanglots,
à vomir ! J'ai jamais pleuré, depuis 5 ans, sauf la nuit...
Facile de bravacher, de babasser, seule, sur mon blog…Voici qu'affrontée à la réalité, je me découvre faible, désarmée.La fête de la rentrée, c'est pour les autres…
Et je n'avais pas encore pris la mesure du manque !
Maintenant, j'ai peur de venir, même pour un seul jour,
Au lycée où je suis pourtant « inscrite » …entre guillemets !
Et si, comme dans la grande surface, je perdais les pédales.
Déjà stressante, cette 1ère journée en Terminale, pour mes camarades…
Si c'est pour les «angoisser » un peu plus avec mes problèmes,
J'aime mieux ne pas venir… Je ne sais pas, je ne sais plus…
Se découvrir si faible, alors que je croyais qu'au moins ,
le moral, à défaut du corps, tenait le coup…
découvrir que ce moral n'est que façade fragile !
que je « craque » dès que je mets un pied dans le réel…