Je viens de passer une semaine entourée de biquettes ! un "stage" dans un lycée agricole bien au fond de la France rurale. Je m'y suis trouvée très heureuse (pas mal de beau temps, mais surtout de la fraîcheur et des arbres centenaires, des bois, des vallons.). La Loire est un département très vert !Il n'y avait pas que les 150 chevrettes de race alpine (brunes de poil !), leurs 30 boucs en stabulation libre, leurs chevreaux de l'année.et l'atelier de confection de fromages tout proche :
sur les 170 hectares de la propriété du lycée, il y avait aussi :des vaches montbéliardes, (blanches à tâches rousses), des chevaux (une vingtaine), des ânes (4) que j'allais visiter chaque soir :
et aussi 3 étangs, avec chacun leur peuple de canards, hérons, carpes, et même 2 rats musqués !
Tout ce petit monde meuglait, chevrotait, cancanait, hennissait, brayait... et aussi réclamait pour manger, se faire traire, boire, etc...
Bref, beaucoup de bruit... et des odeurs ! ... et encore, j'ai oublié les millions de mouches !
Mais c'était aussi plein d'humains, puisqu'il y avait des élèves du lycée en stage pratique, les villages environnants qui amenaient en car les enfants des centres aérés, les scouts qui campaient (4 troupes scoutes éparpillées campaient pendant la petite semaine de mon séjour !), des musiciens venus d'un peu partout en France qui venaient répéter pour un "festival" de musique de chambre et s'exerçaient à l'ombre des beaux arbres.
Mais laissons celà pour un autre article !
Bref, beaucoup de bruit... et des odeurs ! ... et encore, j'ai oublié les millions de mouches !
Mais c'était aussi plein d'humains, puisqu'il y avait des élèves du lycée en stage pratique, les villages environnants qui amenaient en car les enfants des centres aérés, les scouts qui campaient (4 troupes scoutes éparpillées campaient pendant la petite semaine de mon séjour !), des musiciens venus d'un peu partout en France qui venaient répéter pour un "festival" de musique de chambre et s'exerçaient à l'ombre des beaux arbres.
Mais laissons celà pour un autre article !
Quand même, je vous présente ma nouvelle amie : elle se nomme Douce : une jument un peu abandonnée, sans doute laissée en pension pendant que ses propriétaires sont partis en vacances, seule et sale à souhait : elle me faisait pitié dans son box, et je lui apportais matin et soir dans la main une poignée de feuilles de pissenlit rendues géantes par la pluie de la semaine précédente; elle s'en régalait.!
Tendre Douce, tu ne sais pas parler : je suis sûre que tu te sentais triste !
Les derniers jours, elle me sentait venir et se précipitait à la porte de son box !
Les derniers jours, elle me sentait venir et se précipitait à la porte de son box !
