Chevrette Nomade

Il y a un an

Il ne se passait rien...

Dimanche 2 octobre 2011 à 21:11

Des féministes parisiennes, croyant découvrir la Lune, veulent interdire le "Mademoiselle". Depuis un quart de siècle au Québec, vous risquez une baffe dans la figure si, garçon, vous appelez une fille "Mademoiselle". Décidément, les prêtresses du féminisme parisien ne devraient pas ainsi lever des vieux lièvres déjà rassis dans d'autres capitales ou pays, et se souvenir que le Canada a "inventé" le vote politique des femmes avant la France !
Remarquez qu'on m'interpelle souvent par "mademoiselle" à Montréal : signe que même ici il faut du temps pour que les coutumes langagières évoluent. D'autant que beaucoup de français passent à Montréal et de montréalais à Paris.
Moi, le "Mademoiselle" j'aime bien : il me fait sentir toujours jeune et disponible, donc désirable. Et aucun féminisme n'abolira l'attraction amoureuse à aucun âge, quelle que soit la préférence sexuelle. Donc le plaisir, pour une fille, d'être "attractive". On ne remplacera pas la morale chrétienne, qui voyait les "appâts" féminins comme tentation de Satan, ni certaines morales rigoristes musulmanes, par une morale féministe vétilleuse.
De même, je suppose que chaque sexe doit avoir sa "spécificité". Évidemment, les Amazones guerrières du passé qui pourchassaient, sein nu, leurs ennemis tous mâles m'ont faite rêver ! Mais ma vie de petite fille accrochée aux basques de ses 2 frères aînés m'a convaincu que la séduction, la tendresse, le droit de s'habiller de manière tellement plus diversifiée que ces pauvres garçons, une certaine intuition et "hypersensibilité" sont les apanages de la gent féminine, et que cela présente aussi quelques avantages... dont celui de savoir "manier" les hommes. Et cet avantage n'est pas mince !
Heureusement qu'il y a au moins deux sexes (et le mélange aléatoire des deux) : sinon les rapports entre humains seraient deux fois plus ennuyeux.
Il reste que les violences faites aux femmes, le nombre hallucinant d'épouses victimes, au sein du domicile conjugal, l'utilisation de viols des femmes comme "arme de guerre", l'inégalité de salaires et de la représentation des sexes en politique comme en hiérarchie d'entreprise, montrent la nécessité du combat féministe.... Encore faut-il que celui-ci ne prenne pas les problèmes par le "petit bout de la lorgnette".
Et désormais, appelez-moi "LADY" ! Un des seuls films érotiques que j'aie vu est Lady Chatterley, de Pascal Sevran (streaming ici ). 
La photo ci-dessous est extraite de ce film : la femme et l'homme sont nus, tous deux à égalité, sur une pelouse,nimbés pudiquement d'une pluie battante.
http://maud96.cowblog.fr/images/Avril2010/ladychatterley.jpg
"Lady" est en anglais plus sexy excitant que le "Madame" français, du moins à mon avis...
(Cet article est une réponse à la discussion proposée par Plume (clic)
Par Dark-Riketz le Dimanche 2 octobre 2011 à 21:19
Tiens, je savais pas, qu'au Québec le "mademoiselle" était banni, tu me l'as appris ^^
Bien, et bien ce sera comme vous le souhaitez, Lady Maud ;)
Par Soliworld le Dimanche 2 octobre 2011 à 21:34
Moi aussi je l'aime bien ce "mademoiselle". "Madame" me fait toujours bizarre, j'ai l'impression d'être vieillie avant l'heure. Et puis franchement, les féministes, elles ont pas d'autres chats à fouetter?
Par alyane le Dimanche 2 octobre 2011 à 21:36
Dans certains cas, le fait d'être une femme est un avantage, mais pas dans tous les pays.
Par autres rimes le Dimanche 2 octobre 2011 à 21:56
bien le bonsoir Mademoiselle Maud
euh Mademoiselle ou bien lady
ce soir l'impro-poètico-écrit
de Monsieur troubadour Emmanuel
qui ce dimanche soir passe par ici
sur la toile du net se promène,rode
en rimes impro ,rimes nouvelles
un coucou poètique il glisse
quand les heures de la nuit se hissent
loin d'un soleil tout rayonnant
d'une arrière saison bien joyeuse
oh journée à l'agréable temps
sans une menace pluvieuse
mais un temps idéal
peut être aussi à montréal ?
bien le bonsoir ou le bonjour
car horaire décalage oh j'imagine
15h50 --- bientôt 16h00 par là bas
alors qu'ici bientôt se glisser sous les draps
pour le nocturne instant rêveur
sous les toits d'un ciel lune lueur
et ici je termine l'impro d'un soir
bises du troubadour ,à plus tard

A+
Par maud96 le Dimanche 2 octobre 2011 à 22:08
C'est gentil, rimeur poète et troubadour... mais hélas, il pleut toute cette journée de Dimanche aujourd'hui à Montréal, comme hier et sans doute comme demain.(voir Météo de Montréal colonne de droite sous l'heure)
Par monochrome.dream le Dimanche 2 octobre 2011 à 22:19
Ce débat sur la suppression du mademoiselle, me déconcerte... J'ai l'impression d'un combat « de loisir » chez les féministes qui défendent cela bec et ongles. Heureusement qu'à côté, il y a encore des gens qui tentent de saisir à bras le corps de vrais problèmes urgents et cruciaux.
Par silverthorn le Dimanche 2 octobre 2011 à 23:40
Le problème avec le féminisme c'est qu'il entend supprimer les inégalités hommes-femmes en suscitant le conflit hommes-femmes à coups de : bande de mâles machistes et virilistes ou bandes de femelles self-oppressed et décérébrées. C'est l'illusion de la dialectique matérialiste marxiste : la croyance que les contradictions provoquent à termes la dissolution des catégories mises en contradiction.
Il n'y a aucune "positivité" de la lutte féministe, c'est un conflit permanent, et cette nature conflictuelle pousse bon nombre de féministes à oublier que c'est à l'oppression qu'il faut s'attaquer, non à l'oppresseur (= l'homme. Qui lui aussi subit une oppression de genre par le réquisit de sa virilité notamment). La nature de l'oppression des hommes est certes moins flagrante et moins développée, notamment parce-qu'un homme que l'on dirait oppressé dans son genre est immédiatement extériorisé, mis à la marge du problème et placé sous l'étiquette soit "gay", soit "trans'". Mais la prise en compte par le féminisme d'une oppression des hommes c'est le dépassement immédiat du féminisme et la propulsion directe sur la planète Queer.

Quelle lutte aurait donc une positivité? Les luttes queer, les gender studies qui mettent fin aux catégories homme-femme, que le féminisme ne fait que renaturaliser (même si ce n'est pas sa volonté).
Déconstruction du genre (ainsi que de nos certitudes biologiques) pour combatte l'oppression de genre, c'est notre meilleure arme contre toutes les oppressions, qu'elles touchent aux personnes que l'on appelle "femmes", aux trans', ou aux sexualités.

Au lieu de supprimer le "Mademoiselle" de l'Etat Civil, il faudrait donc d'abord supprimer la double case "Sexe" sur l'Etat Civil, car cela ferait sauter par là même Monsieur-Madame-Mademoiselle, et ça permettrait aussi d'intégrer toutes les identités, même les transidentités.

Après ça ne veut pas dire qu'il faut être anti-féministe, c'est simplement que le temps passé à faire sa féministe c'est autant de temps passé à ne pas déconstruire le genre, c'est pourtant de toute urgence.
Par maud96 le Lundi 3 octobre 2011 à 11:41
Très honorée, sir Dark-Riketz. Mais en fait, je suis gênée, car je trouve que "Lady Maud", ça sonne un peu courtaud et donc moche. J'attends d'avoir des sous pour acheter un titre plus prestigieux, et tout le saint-frusquin qui va avec (armoirie, papiers authentiques, etc...) ici : http://www.rondmons.org/fr/titres-et-valeurs.html
Évidemment, tout ça coûte très cher ! Plus économique serait la piste proposée par Kathleen Winsor dans son roman à succès "Ambre" : me prostituer légalement à un vieux duc anglais esseulé en mal d'amour et + !... très vieux, le duc, pour qu'il meure vite et que j'hérite ! Mais je ne trouve aucun duc à draguer à Montréal ! :((
Par Sir Peter le Lundi 3 octobre 2011 à 14:01
Soyons clair et précis, il s'agit de supprimer "Mademoiselle" des formulaires administratifs et non de la langue française. D'autre part, ce n'est pas la première demande, il y en a de beaucoup plus ancienne. Je suis favorable à cette requête. D'ailleurs, on pourrait même supprimer Monsieur et Madame, ça ne changerait rien à une demande d'"autorisation d'occupation temporaire" par exemple, avec juste le nom et le prénom. La France à toujours eu des formulaires "limites" quant aux renseignements demandés.
Par Shcool-Day le Lundi 3 octobre 2011 à 16:47
Moi non plus je ne vois pas le problème avec le Mot "Mademoiselle", j'appelle souvent mes amis "princesse" ou "mademoiselle"! Que ce soit des garçons ou filles d’ailleurs =)
Par siyah-cicek le Lundi 3 octobre 2011 à 21:38
La remise en cause du mot "Mademoiselle" n'est pas si ridicule. Certes, quand on est jeune et qu'on nous appelle "Madame", cela peut être vexant (y compris pour moi)... C'est parce que l'usage est ce qu'il est. Mais quand on y réfléchit, n'est-ce pas étrange et même discriminatoire d'"étiqueter" une femme selon sa situation conjugale alors qu'on ne fait pas la même distinction pour les hommes ? Sur un document officiel, quelle importance qu'on soit mariée ou pas ?

En ce qui concerne "le féminisme", ce mot peut recouvrir tout et n'importe quoi. On me qualifie parfois de féministe (et je ne sais pas trop si je dois accepter ce terme), mais je ne considère pas pour autant les hommes comme des ennemis : en fait, je suis d'accord avec silverthorn sur l'oppression du genre. Et je me suis aussi déjà interrogée sur la nécessité du M/Mme/Mlle sur chaque document administratif...
Par maud96 le Lundi 3 octobre 2011 à 23:19
Plein d'intelligence, ton commentaire, Silverthorn, à partir d'une histoire du féminisme français que tu sembles connaître mieux que moi (qui n'ai pas spécialement étudié leurs courants)
Je doute un peu que la mise en avant de la problématique de genre à la place de celle, assez "biologique" et "primaire", du sexe empêche la "guerre larvée des sexes" dont tu parles. Cette opposition des sexes dans les esprits, mentalités et comportements est trop profitable à bien des pouvoirs pour que ceux-ci acceptent, avant plusieurs générations, de la voir s'éteindre. Les dualités primaires rassurent les âmes simples, en leur fournissant un semblant de stabilité et en "solidifiant" les identités vacillantes. Homme<>femme, voilà qui est simple et séduite le "bon sens" !
Par silverthorn le Mardi 4 octobre 2011 à 0:18
En fait je me retrouve assez dans le projet foucaldien d'intérêt pour les marges qui dessinent les contours d'un Dehors des paradigmes qui animent notre société. Celui du féminisme n'est pas dénué de marges, et j'aime observer des faits aussi simples et problématiques que des réunions féministes non-mixtes (i.e composées uniquement de femmes) face à l'irruption en pleine réunion d'une transsexuelle. Cela pose un réel problème pour certaines féministes très peu axées sur les questions de genre (il y a des courants féministes très réactionnaires, être féministe n'est pas gage de progressisme loin de là), et plus souvent qu'on ne croit les transsexuelles (Male to Female donc) sont refusées dans ces réunions dont le but est de permettre à des femmes de s'exprimer plus facilement qu'en présence d'hommes, réputés prendre la parole plus facilement. Comment faire effectivement, face à un individu ayant reçu une éducation dite masculine mais de genre féminin? Ce ne sont pas des faits anodins, ce sont des choses qui réapparaissent au sein des luttes avec une force insoupçonnée.

Déconstruire le genre c'est éliminer à la racine la possibilité même d'un conflit homme-femme puisque ce sont ces catégories mêmes qui sont remises en cause, après bien sûr c'est une résolution présentée de manière théorique et déconstruire le genre n'est pas une mince affaire. Mais comme dit un ami à moi "Vous verrez qu'historiquement les problèmes soulevés par le féminisme trouveront leur résolution grâce aux mouvements queer et que le féminisme sera rétrospectivement perçu comme ayant été parfois un frein à ses propres objectifs".

Quant à l'utilisation de la binarité des sexes par le "biopouvoir" (encore Foucault), nous sommes d'accords, et c'est bien pour ça qu'il est bien plus révolutionnaire de déconstruire le genre d'emblée, il s'agit de tirer à boulets rouges depuis une aire libre. Si la doxa s'accroche à la notion d'identité et a peur de la voir vaciller, pour moi il faut la faire vaciller encore plus afin de voir qu'aucune identité fixe et délimitée n'est tenable. Nous sommes tous en devenir, et irréductibles à des identités figées.

Ensuite sur la question biologique, il y a tout un volet des gender studies qui s'interroge là-dessus et qui explore les vastes espaces de réflexion qu'ouvrent les cas biologiques des intersexes et des transsexuels. Par exemple une phrase simple de Beatriz Preciado (philosophe espagnole) si tu parles espagnol, que j'ai extrait d'une de ses interviews sur Youtube : " La biologia es un sistema tecno-vivo, es decir en el que ya estan implicados procesos de interpretacion y de producion cultural. Ademas la ciencia funciona produciendo metaforas performativas, es decir que produce a que lo intenta describir de alguna manera. ". La dernière phrase si tu as besoin d'une traduction "De plus, la science fonctionne sur la production de métaphores performatives, c'est-à-dire qu'elle produit ce qu'elle essaye de décrire, d'une certaine manière". Autrement dit : on ne voit deux sexes biologiques que parce-qu'on a déjà envie d'en voir deux. Et effectivement, c'est le cas.

Après cette dernière interrogation sur le problème de la biologie ne doit pas prendre le premier plan de la réflexion, il s'agit seulement d'invalider l'argument biologique, non de réinstaurer un déterminisme biologique prenant en compte la multiplicité des corps biologiques et leur influence sur la construction du genre. Le concept socio-philosophico-politique de "genre" reste incroyablement fort et pertinent.
Par trofimov le Mardi 4 octobre 2011 à 7:30
Je trouve assez facile ce recours à l'épithète de "parisien" pour minorer la crédibilité d'un discours.
Pour info Paris est une ville dont les habitants sont eux aussi touché par les difficultés à trouver un emploi et ou les problèmes
de logement et de coup de la vie sont particulièrement prégnants.
Ensuite j'avoue ne pas comprendre pourquoi tu explique que la suppression du terme " Mademoiselle" ne vaut pas d'être mené en france car il a déjà été gagné au Québec. Le combat d'Oser le féminisme, pour être efficace, se fait dans le pays ou ses militantes vivent. Elles ont constatées depuis longtemps que la domination masculine passe aussi par le discours. Elles dénoncent donc cette situation. Pourquoi lorsqu elle remplit un formulaire une femme doit dire si elle est passée devant le Maire ? Surtout que bien souvent des couples existent sans jamais être officialisés. Pourquoi ceci n'est jamais demandés aux hommes ?
Ceci n'est qu'un des aspects ? Chic. Le combat féministe ne s'y réduit pas. Des assos mènent déjà des combats pour le droit des femmes à l'IVG, pour la parité,pour l'égalité salariale homme / femme etc...
Il ne s'agit jamais d'un combat " de loisir " ( j'aimerais bien savoir quel expérience du militantisme on peut avoir pour formuler de tels jugements ).
Enfin Silverthom reprendre cette antienne des "féministes qui auraient des comptes à régler avec la gente masculine ". Vraiment cette chanson depuis les années 70 n'est plus entonnée par personne. Quand à la théorie du genre il serait heureux de la manier de façon plus lisible.
Je n'ai certes pas lu Judith Butler, ni même Derrida, seulement Despentes mais ton sabir me paraît fort déconstruit.
Et vraiment dire que des militantes en sont à " faire la féministe "

Amitiés à tous. D'ordinaire je suis un garçon des plus courtois.
Par silverthorn le Mardi 4 octobre 2011 à 8:03
Il ne s'agit pas de dire que les féministes ont des comptes à régler avec les hommes (grave contresens), il s'agit seulement de poser le débat de telle façon que la lutte contre l'oppression ne se transforme par l'expérience militante en une lutte contre l'oppresseur, et mon expérience de militantisme avec des féministes n'est pas démentie par cette expérience.

Après je ne vois pas ce qu'il y a d'illisible à dire que le genre est un concept pertinent et efficace., et que la notion de binarité des sexes biologiques est discutable, selon les propres propos de la compagne de Virginie Despentes (Beatriz Preciado justement).

Tout ce que je dis c'est que je préfère militer avec les collectifs Queer qu'avec les collectifs féministes qui ont des limites que je trouve trop flagrantes. Point barre.
Par lancien le Mardi 4 octobre 2011 à 8:21
J'aime bien ton article, réaliste et sensé.
Quand j'étais jeune, un homme qui aurait appelé une jeune fille "madame" aurait été taxé de malotru !! Et appeler une femme mariée mademoiselle était considéré comme un compliment parce que cela sous-entendait qu'elle avait encore l'apparence de la jeunesse. A l'inverse une vieille fille tenait souvent à ce qu'on l'appelle madame, pour ne pas avouer qu'elle n'avait pas trouvé chaussure à son pied.
Et entre jeune garçon, parler de la "miss" était un peu méprisant !
Alors tout change, évolue, recommence ....... comme l'esprit humain, et parfois l'humeur des femmes.
Il y a un bouquin que tu devrais lire, de Robert Merle, un excellent écrivain, "les hommes protégés".
Par eflez le Mardi 4 octobre 2011 à 14:41
En quoi le mademoiselle doit être interdit ? Je ne le trouve pas dégradant comme mot, c'est une condition c'est tout. Moi j'espère qu'on m'appellera mademoiselle encore un petit moment. Déjà qu'avec le mariage j'ai choisi de changer de nom et ça me fait toujours bizarre quand on me nomme avec. Tiens je pense comme lancien au sujet des madame/mademoiselle. On m'a même dit qu'après 40 ans, on appellait une dame madame par politesse même si elle n'est pas mariée (encore faut-il ne pas la vieillir prématurément ^^). Je pense que ce genre d'action est ce qui décrédibilise (l'interdiction du mademoiselle) le féminisme.
Par maud96 le Mardi 4 octobre 2011 à 19:35
Je suis persuadée, Trofimov, que tu es trop intelligent pour ne pas être courtois. D'ailleurs, vous êtes ici plusieurs "intelligents" qui semblez en savoir bien plus que moi...
J'en profite pour signaler que si mon article voulait répondre à l'article de Plume, que j'avais lu ( http://plume.cowblog.fr/votre-avis-sur-l-egalite-hommes-femmes-3141479.html ), le thème du "Mademoiselle interdit" avait déjà été entamé dès le 28 Sept. par cet article d'Anicroche: voir ici : http://anicroche.cowblog.fr/j-aurais-du-naitre-avec-un-penis-3140716.html
... ce que j'ignorais.
L'article d'Anicroche a suscité une réponse de Mel, sous la forme d'un autre article ici : http://oeil-du-miroir.cowblog.fr/le-debat-mademoiselle-une-case-en-trop-et-ma-vision-du-feminisme-commentaire-de-l-article-de-tristelune-3140962.html ... article que je n'avais pas lu non plus
Cowblog aura donc été animé cette semaine par cette histoire de "Mademoiselle" !
Par Le-VIOC le Mercredi 5 octobre 2011 à 8:01
salut Maud
bha tu sais il faut bien s'occuper à quelque chose
une femme sera toujours une femme
et rien ne changera, elle devra toujours enfanter
s'occuper des gosses,.... et faire la vaisselle ;-)
gros 88
Par maud96 le Mercredi 5 octobre 2011 à 12:17
Ah Le Vioc, toujours "provocateur" et le mot pour rire !
N'as-tu pas encore acheté un lave-vaisselle?
Cela dure 8 à 10 ans, ronronne, ne parle pas ni ne divorce et est donc bien plus fiable qu'une "blonde" ! :))
Par Kyra le Mercredi 5 octobre 2011 à 17:00
C'est intéressant d'avoir ton point de vue. ^^ Moi j'y tiens à ce Mademoiselle !

Bonne journée LADY Maud. ;)
Par Le-VIOC le Mercredi 5 octobre 2011 à 17:59
coucou bheu!
bha oui elle a un lave vaisselle,
mais elle lave tout avant de mettre dedans
comme çà, çà me coute le double en flotte ^_^
et elle est brune...comme quoi ;-)
88
Par ptit-pois le Lundi 31 octobre 2011 à 15:19
Je pense qu'on pourra se payer le luxe de se battre pour un problème de ce type (qui n'en est pas un, en plus, ça ne m'a jamais gênée d'être appelée mademoiselle, au contraire je trouve ça plutôt chic) quand on aura réglé les autres qui sont mille fois plus graves et handicapants dans la vie quotidienne.
 

crottes de chevrette

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