Je vais bien...
et je suis contente de voir que le nombre d'articles a augmenté un peu sur Cow...Mais ce soir, je n'ai pas trop envie d'écrire ici.
Bien des choses à dire me passent par la tête, mais le travail m'attend.
Et ce serait donc artificiel : écrire un post pour écrire un post... Cà ne vous est jamais arrivé, çà, sur Cow, de transformer votre blog en une sorte de "devoir quotidien" à remplir ?
(d'autant plus obligé ce devoir que rien, sauf vous-même l'auteur, ne vous y force ! )
Comme dans un salon de bonne société : il faut parler pour parler..., pour "exister"...Je lis en ce moment, parmi d'autres livres, à moments perdus, "La vie sexuelle de Catherine M.", par Catherine Millet (Points, P10008). Dans cette "autobiographie", l'auteur, femme célèbre, explique comment, depuis ses 16 ans, ses loisirs sont consacrés à se faire "prendre" par des centaines d'hommes. Un livre cru, assez monstrueux.
Mais, dans un blog aussi, d'autre manière, on est un peu exhibitionniste...
Par le simple fait d'écrire, d'ailleurs, si on veut bien y réfléchir...
Se dévoiler, mais avec toute la distance nécessaire entre l'écriture et son auteur...
Certain(e)s le font avec leurs poings, d'autres avec leur argent, d'autres avec leur cul.
Le blogueur le fait avec son blog...
Se dévoiler, mais avec toute la distance nécessaire entre l'écriture et son auteur...
Certain(e)s le font avec leurs poings, d'autres avec leur argent, d'autres avec leur cul.
Le blogueur le fait avec son blog...