Aucun tribunal n'ose condamner même à une seule semaine de torture !
La mort propre, par seringue, pendaison ou balle dans la tête, oui, un tribunal aux USA, en Iran, en Chine (ou ailleurs) osera vous y condamner...
Imaginez un tribunal qui proclamerait : "M. Untel, reconnu coupable d'avoir tué sa femme et ses enfants avec un couteau de cuisine mal aiguisé, puis d'avoir réparti les morceaux de sa famille dans des sacs d'ordure dispersés dans diverses poubelles de sa ville, est condamné à six mois de torture, liberté étant donnée aux bourreaux d'imaginer toute méthode adéquate, pourvu qu'au bout de ces 6 mois, il soit toujours vivant...."
Hurlements horrifiés dans toutes les chaumières internationales, honte infligée dans les médias du monde entier au tribunal qui aurait émis ce jugement  !
que deux êtres passionnés s'infligent l'un à l'autre, à doses savamment calculées de rendez-vous manqués, de textos ambigüs, de silence sur MSN  ("et pourtant, je sais que tu es en ligne !"), de mensonges habiles, mais toujours dévoilés par les "bons" copains ou copines, de non-dits, d'allusions...

Savez-vous au moins, vous qui vous baladerez toute la soirée pour cette fête de la musique, que la musique, langue des Dieux, leur fut volée.... et que le jeune homme, auteur de ce vol, paya cher son impudence ?
Son nom : Marsyas... Voici qu'un jour ce jeune Satyre découvre dans un sous-bois traînant sur l'herbe une flûte.
Il la ramasse, ignorant qu'il s'agit de la flûte qu'a inventée la déesse Athéna.... mais celle-ci s'est lassée de jouer de cet instrument, car de souffler dans une flûte lui déformait les joues, et les autres dieux se moquaient d'elle.
Marsyas, lui, en joue... si bien que sa renommée dépasse la Grèce et monte jusqu'à l'Olympe, demeure des Dieux. La populace des paysans de Grèce prétend qu'Apollon lui-même, dieu de la Beauté, de la Lumière et des Arts, ne jouerait pas mieux !
Le bel Apollon, lui, joue de la lyre... Jaloux, il veut entendre ce jeune prodige de Marsyas...et là arrive le sacrilège qui va signer la fin horrible de Marsyas (oui, la fin est vraiment gore !)
Le jeune Marsyas ose défier Apollon à un concours de musique... On ne défie pas les dieux !  Qui jouera le mieux, Marsyas, le satyre, de sa flûte, ou Apollon, le plus beau des dieux, avec sa lyre ? Les dieux s'ennuyaient ferme dans leur Olympe, et, comme M6 ou TF1, adorent les concours.... Ici, qui serait la Nouvelle Star ?
 Voici une photo qui fut prise à l'époque, par un peintre nommé le Pérugin (1495) : vous y voyez Marsyas, ce jeune berger assis à gauche, qui joue de la flûte devant le dédaigneux Apollon, debout à droite, et entre les deux, la lyre d'Apollon. Ne soyez pas scandalisés : à l'époque, ils n'avaient pas encore inventé le métier à tisser ni donc les habits. Et si Marsyas paraît un peu pitoyable, Apollon avec ses cheveux fait très "rock-star"... oui, mais quelle ridicule zigounette !
Le prix du concours : celui qui gagnera fera à l'autre ce qu'il voudra ! (une espèce de Poker déshabillé, quoi !)
et le jury : le roi Midas, et les 7 muses ! Mais ce jury est évidemment truqué : les muses sont filles de Jupiter-Zeus, et Apollon aussi. Vous ne voyez pas ces groupies voter contre leur frère ! Et à la fin du concours, il y eut 7 voix pour ce bellâtre d'Apollon, les voix des Muses, et 1 voix pour le pauvre Marsyas : celle du roi Midas à qui Apollon, vexé, fit de suite pousser des oreilles d'âne !
Et que fit Apollon à ce pauvre berger Marsyas : il le fit pendre par les pieds à une branche d'arbre, puis, méticuleusement, lentement, il l'écorcha vif et lui retira la peau !
                                A droite ici, début du supplice >>>
et en bas, le plus gore, Apollon, fatigué, laisse ses sbires achever le travail, tandis qu'il joue du violon ! La douleur d'autrui, çà inspire les violonistes ! Je vous ai mis la photo (cette fois-ci, le reporter photographe, c'est le Titien) ... parce que j'aime bien le petit chien en bas de la photo !

Je vais retrouver ma concurrente... Une petite chipie, fille de mon aîné de frangin, née il y a 18 mois... A cause d'elle, je ne suis plus qu'une vieille tata. Moi qui étais la seule, l'unique fille de la famille, la petite soeur adorée de ses aînés, la perle, je suis détrônée.
Jalouse d'elle que je suis : çà marche encore à 4 pattes, çà porte encore des couches, et déjà çà vous pique la place... En plus, il va falloir que je la câline, bisoute, guiliguilite, que je la promène, que je lui parle "areu areu" ou "aouaw, aouaw"...
et je suis sûre qu'elle me regardera d'un air étonné comme si j'étais une idiote !
Bon, je sais déjà préparer les biberons (dosette, please !), changer les couches (scratch, scratch !). Bref, je sais m'occuper de l'orifice buccal et de l'orifice anal: c'est déjà le principal, non ?
Mais parler à une gamine de 18 mois  ! ! !
On a bien dû me parler à moi, à 18 mois,  mais je m'en souviens vraiment plus ! Pourquoi ils apprennent pas çà en Terminale au lycée, ou en amphi à l'Université, les profs, comment parler aux bébés ?
De toute façon, j'ai prévu le cadeau pour les parents : çà , à gauche, que j'ai trouvé ici

En ce moment, 3 h. par jour, je travaille au noir dans une entreprise de bâtiment, comme technicienne de surface ! Comme c'est MON entreprise,je suis à MON compte, à la fois PDG et arpète de mon entreprise. Mon entreprise, elle travaille chez moi : je prépare le sol pour qu'il reçoive un joli parquet en lamellé au lieu de l'affreuse moquette qui se gondole chaque été après 19 années de loyaux services (plus vieille que moi !). Je gagne 3 €uros du m² de moquette déposée et de "mousse+colle+poussière jaune" grattée : le prix que l'entreprise qui doit poser le plancher exigeait pour rendre le sol propre et nu, brut le béton quoi ! J'ai décidé que ce travail, ce serait pour moi.... et depuis 2 jours, dans l'ordre, je déplace les meubles (pas facile, seule), je découpe la moquette en tranches (dur !), je l'arrache (facile : elle part toute seule, une fois "découpée"), et, en dessous,je gratte, gratte, racle avec la spatule, balaie, remplis la poubelle... et rebalaie : cette poussière jaune se colle décidément partout, j'en ai sous les pieds, sur les mains, sur les habits...
Une surface de 51 m² : j'en fais 6 par jour ! Bon, c'est pas aussi intellectuel que la préparation du bac ou des examens, mais j'ai déjà gagné 30€ en 10 mètres carrés : une entreprise qui marche ! (sur les genoux, c'est vrai !)... En faisant mes comptes, j'ai décidé que je ne suis pas encore assez riche pour embaucher ! Mais qiel plaisir d'être PDG !

Valise déjà bouclée... ou presque !
Et dire que je quitte le Québec quand il commence à faire plus de 20° !
Vendredi, l'avion pour rentrer en France... un "lowcost".
Pourquoi les avions civils et de tourisme n'ont-ils jamais de parachute ! seuls les avions militaires en ont !

J'ai voulu savoir ce qu'était ce mystérieux Tokio Hotel mentionné dans tant d'articles de Cow ...
il y a même un blog "Tokio-hotel" en tête du top 10 des visites de Cow (bon... ce top ! ? ! ? ! )
et dans l'annuaire de Cowblog (ICI), près de 40 pseudos intègrent dans leur nom "TokioHotel" sous des orthographes diverses, avec ou sans XX, avec ou sans OO, avec Y ou I !
Il y a Bill . . . (le chef du gang)
disent les fan-girls qui se vantent d'avoir été dépucelées par lui...

Je suis décidément une vieille "seventeen", pas une sixteen !
En plus, une mauvaise "fan" : l'hystérie collective m'énerve !

Pourtant, j'ai trouvé une chanson dont le contenu m'a bien plu... enfin surtout le 3ème couplet (lignes en rouge dessous), en cette période d'élections; c'est CRY.

Les Québécois n'apprécient pas beaucoup leurs voisins du Sud, les USA.
Et l'une des multiples raisons de ce manque de sympathie, c'est la cuisine dégueulasse.
Paru aujourd'hui, dans un blog très lu, celui de Patrick Lagacé, cette descente en règle de l'art culinaire des habitants des USA.
"Jacques Noël, contributeur régulier de ce blogue, me demande de décrire ce que j'ai mangé pendant ces trois jours aux USA.
Eh, misère! Réponse, M. Noël : mal. Très, très mal!! C'est épouvantable, en fait. Ces gens-là ont envoyé des hommes sur la Lune et ils sont incapables de nourrir les masses autrement que si les masses étaient des astronautes. Ou des ancêtres des astronautes, des chiens et des chimpanzés, donc.
C'est un cliché usé comme des vieux Nike 1991 de dire que les Américains ne savent pas faire de la bouffe. Mais c'est vrai. Et c'est un gars qui aime les Etats-Unis qui vous le dit. Dans les grandes villes, ça va. On peut manger correctement sans se ruiner. Mais dès qu'on sort des grands centres, c'est pathétique. Non seulement c'est nul, mais c'est cher. C'est le festival du gras, des viandes froides et de la sauce. La sauce ! Fuck, qu'ils aiment la sauce ! Brune, blanche, orange, jaune, verdâtre, qu'importe. Hors des grandes villes, c'est le royaume du Taco Bell, du McDo, du TGI Fridays. Et du Olive Garden, une chaîne passable où on imite la bouffe italienne, dans ces déserts alimentaires.
J'ai une théorie sur la bouffe aux Etats-Unis. C'est la théorie du trottoir. Dans les grandes villes où il y a un semblant de vie piétonnière, c'est-à-dire où on peut survivre sans bazou (bagnole), les restos sont plutôt bons. Mais dans les villes où il te faut un char (auto), où il n'y a pas de trottoir, bonne chance. Culinairement, c'est Bagdad! "

Encore un examen de moins , ce matin. Ici, midi, 18° et encore un grand soleil... J'ai mangé de la salade avec des miettes de poulet et une pomme... Je ne veux pas de cette équation-ci :

A en croire les blogs (je parle de souvenirs, parce que je les lis peu, en ce moment, faute de temps), il y a des éléments de la vie courante qui mettent un Cowblogueur hors de lui, et rendent son humeur exécrable :
1 - les questions antispam de Cowblog...
2 - la (ou les) CSS  disparues mystérieusement ou au comportement de gratteciel déhanché.
3 - les tags publicitaires dans sa boîte à tag ou le com qui montre clairement que le commentateur n'a vraiment pas lu l'article qu'il commente.
4 - Les conversations MSN insipides et sans intérêt... ou, à l'inverse, le correspondant MSN qui quitte sans crier gare.
5 - Le forfait téléphonique épuisé jusqu'au mois suivant.
6 - Le menu du repas familial ou à la cantine.
7 - Le bus ou car ou TER loupé un matin d'école où il y a un contrôle super-important.
8 - Les profs qui donnent plein de devoirs à la veille du week-end.
9 - La séance hebdomadaire d'épilation (le passage mensuel au salon de coiffure, lui, met en joie !)
10 - La proximité physique, en classe, d'un "boulet" insupportable...
Ces 10 "accidents de la vie" ne rendent l'humeur du Cowblogueur qu'excécrable... Un moindre mal ! Suffit pour ne pas trop le croiser en com ! ! !
Mais il y a aussi ce qui rend le Cowblogueur dépressif et semi-suicidaire : dans tous les cas, la raison en est unique et "antinomique" : le manque d'Amour ou l'Amour.
Le manque d'Amour : le fait de ne pouvoir dire qu'on a un "chiwi" ou une "petite femme", c'est très grave...  Certains à 14 ans se voient voués à rester toute leur vie vieux garçon ou vieille fille ! Moi qui à 17 ans n'ai pas d'amoureux, je compatis (et ricane !)
L'Amour : avoir un amoureux ou une amoureuse déclarée est en général une source infinie de souffrances : une séparation de 15 jours est un purgatoire interminable, le silence de l'un ou l'autre (au téléphone ou par SMS) un enfer, et la séparation un véritable drame, qui enlève tout sens à la vie... Tous les blogs "passionnels" sont sujet à de tels accidents ! ...et certains en meurent (le blog, pas le(a) cowblogueur(se) !)
Soyons juste : il y a aussi des blog-paradis, où l'on nage dans le bonheur réaffirmé sans cesse d'un amour qui jamais ne cessera...
A tout choisir, les blogs que je préfère sont ceux où l'humour devant les "accidents de la vie" ne cède jamais aux mouvements météorologiques de l'humeur.
Mais je n'ai pas encore trouvé le blog où une fille dit "Il m'a plaqué !" de manière rigolote !

Je reviens sur ce blog, après une semaine d'abstinence voulue (pas répondu à vos coms, mais çà vient !).
Le général Hiver semble avoir reculé, même si la météo annonce encore quelques journées en dessous de zéro... Et du coup, bien plus de monde dans les rues. Les amas de neige sentent venir leur mort et pleurent en flaques sales. Mais entre 5 et 8 degrés, on peut déjà sortir moins emmitouflée ! On voit des cheveux et pas seulement des tuques multicolores, des visages et pas seulement des yeux ! J'ai hâte de voir le printemps canadien, qui patauge encore à venir !
Déjà le stress des examens (juste après Pâques ! fin des cours le 11 Avril)... Les tests de Français qui terrorisent nombre de mes amies (indiennes, indonésiennes, et anglophones en général) ont lieu début Avril... Tout est si mêlé ici, anglais et français (plus les mots de "slang" jeune), que çà donne ceci, extrait du blog d'une jeune canadienne :
"I can't believe my foot is hurt hurttttttt, jme suis peter le pied au karaté et ca fait vraiment chier ! Jmarche comme une handicapé et c'est vraiment pas le temps d'être blessé !  Hahah c degeuuu, mon pied a comme une bosse super giant ... HAHAHAHA Today ma aller chez mon amie meme si jai mal, blessé ou pas, work must be done ! Jespere que demain ca va mieux aller... erhh jai deux examens demain et jai pas l'envy rater lecole a cause de mon foutu pied! grrrrrrr... I am bored to death. Busy with work now. SIGH ! SIGH !"
J'ai respecté le texte tel quel : çà me fait tellement rire ! La langue de demain ?
Blague courante ici : une fille francophone se rend chez son beau-père : celui-ci, anglophone, lui propose de jouer de son "organ".... Il est musicien !
Well, today, NO-SMOKING DAY ! Après l"INTERNATIONAL WOMEN DAY" et le "WORD AIDS DAY" de la semaine dernière, et en attendant le ST-PATRICK DAY (???) Samedi prochain, I am bored with all these DAYS ! C'est un bon gros panier de printemps que je veux, pas des jours anniversaires égrenés en chapelet ! En primeur, cette petite poésie, si jolie :

Photo d'hier, dans le vent soufflant la neige, par -20° ressentis...
Il y a des élections ici au Québec (je n'ai pas trop compris pour qui ou quoi !).
Des pancartes électorales fleurissent partout
(comme en France, sans doute !).
Mais, le jour d'une tempête de neige, çà m'a fait rire : à qui s'adresse cette pancarte : aux québécois ?
                             ou...   A LA METEO ?